Chères et chers membres,

C’est avec une grande joie que je vous écris aujourd’hui.

Depuis plusieurs années, plusieurs personnes soulignent l’importance d’avoir un leadership capable de connecter avec l’ensemble des régions du Québec et de rebâtir la marque du Parti libéral du Québec.

Si j’ai pris la décision de me présenter, c’est parce que je crois sincèrement pouvoir relever ce défi.

Aucun autre candidat n’a une empreinte régionale plus importante que la mienne. Je suis né et j’ai grandi à Matane, en Gaspésie, où je retourne régulièrement. J’ai étudié deux ans au Cégep de Québec et j’y ai passé plusieurs étés durant ma jeunesse. J’ai poursuivi mes études pendant deux ans à l’Université de Sherbrooke. J’ai travaillé pendant 25 ans au centre-ville de Montréal dans de grands cabinets d’avocats et de comptables. Depuis une quinzaine d’années, j’ai également une résidence à Gatineau, où j’ai passé la majeure partie de mon temps au cours des cinq dernières années.

Durant toute ma jeunesse, j’ai participé à des compétitions de patinage de vitesse et d’athlétisme, parcourant les régions du Québec fin de semaine après fin de semaine. Depuis 25 ans, je travaille régulièrement avec des PME québécoises sur l’ensemble du territoire, et j’ai appris à comprendre leur réalité.

Mais il y a plus : mon engagement envers la lutte contre les disparités régionales ne date pas d’hier. Dès mon entrée en politique en 2000, j’ai contribué activement à cet enjeu, et je continue encore aujourd’hui. J’ai d’ailleurs rédigé un document sur le sujet en 2002.

Cependant, ma candidature ne se limite pas à ma connaissance du terrain. Derrière l’avocat que je suis se cache un véritable entrepreneur spécialisé en commerce international. C’est exactement le profil dont le Québec a besoin pour se positionner stratégiquement dans un contexte économique précaire, notamment face aux menaces américaines de Donald Trump.

Pendant que les politiciennes et politiciens se succèdent sans savoir comment gérer les dépenses, je parle d’enrichir le Québec. L’enrichir grâce à ses ressources naturelles. L’enrichir grâce au commerce international.

Encore une fois, je me démarque par mon expertise économique, qui est précisément celle dont notre Parti a besoin. Pour regagner le cœur des Québécoises et Québécois, nous devons faire ressortir la marque libérale : un nationalisme économique fort. Un Parti qui investit non pas dans des entreprises étrangères comme Northvolt, mais dans les entreprises d’ici.

Au cours des prochains mois, vous découvrirez ma vision pour le Québec. J’en ai une claire et ambitieuse : faire du Québec la province la plus prospère du Canada d’ici 25 ans.

Enfin, je tiens à souligner que cela fait 25 ans que je suis impliqué en politique à différents niveaux : président local, président régional, membre de conseil de direction, président de commission politique. Je sais ce que signifie être bénévole au sein d’une organisation politique. Cette expérience influencera mon leadership une fois chef du PLQ. À mes yeux, les bénévoles sont les piliers du Parti, et je m’engage à établir un lien fort avec la base militante sur l’ensemble du territoire québécois afin de bâtir une équipe solide pour les prochaines élections.

Mon discours économique et ma vision pour l’avenir du Québec sont les meilleurs outils pour rassembler l’ensemble des Québécoises et Québécois derrière le Parti libéral. J’ai jusqu’au 14 juin pour vous prouver que j’ai raison.

Merci de me suivre sur les différents médias sociaux. J’ai hâte de vous rencontrer et d’échanger avec vous en personne au cours des prochains mois.

Au plaisir de vous voir bientôt.