Le mercredi 19 février, Marc Bélanger, candidat à la chefferie du PLQ, a publié "Agir par conviction", un ouvrage qui dépasse le simple récit personnel. Ce livre est une vision, un appel à l’action et un guide pour tous ceux qui croient que le Québec peut accomplir plus, ensemble.

Marc Bélanger n’a jamais été un homme d’attente. Dans sa carrière en politique, comme dans son engagement envers les PME québécoises, il a toujours privilégié l’action fondée sur des convictions profondes. Aujourd’hui, il partage ce parcours exceptionnel dans un livre qui parle autant de ses batailles que des valeurs qui l’animent : courage, unité, et ambition pour le Québec

Le Journal Le Quotidien met en lumière la vision de Marc Bélanger dans la course à la chefferie du PLQ : un Québec qui donne plus de place aux régions, tant dans le développement économique que dans les grandes décisions politiques.

Défendre les intérêts des régions

Natif de Matane, Marc Bélanger veut remettre les régions au cœur des priorités du Québec. Il dénonce le fait que trop de décisions économiques et politiques sont prises dans les grands centres sans tenir compte des réalités régionales.

« Beaucoup de décisions sont prises par les fonctionnaires dans les grands centres. Il faut une approche qui comprend les réalités de nos entrepreneurs et travailleurs en région. » – Marc Bélanger

De passage au Saguenay–Lac-Saint-Jean, il a rencontré des entrepreneurs touchés par les tarifs de 25 % imposés par Trump et réitéré l’importance d’un Québec maître de ses ressources naturelles.

Quand Marc Bélanger a annoncé son intention de briguer la chefferie du Parti libéral du Québec (PLQ), beaucoup ont douté. Mais aujourd’hui, Radio-Canada le dit : cet avocat fiscaliste et expert en commerce international, natif de Matane, est bien plus qu’un outsider. Il incarne une vision audacieuse pour le Québec et bouleverse les attentes.

Une vision forte pour l’avenir économique du Québec

Dans un monde où les pressions économiques internationales s’accélèrent, le besoin de leadership visionnaire est criant. Marc Bélanger se distingue par sa volonté de valoriser les ressources naturelles du Québec pour en maximiser les retombées économiques. Radio-Canada souligne son approche unique :

"Nous avons des ressources incroyables, mais elles sont sous-exploitées ou cédées à des compagnies étrangères. Cela doit changer," affirme Marc. Il propose de nationaliser l’eau, de diversifier les marchés et de réévaluer les contrats liés aux richesses naturelles pour protéger les intérêts des Québécois.

Un attachement profond aux régions

Pour Marc, les régions ne sont pas une simple carte électorale, mais le cœur battant de l’économie québécoise. Radio-Canada le rappelle : son lien avec Matane et les régions est une force unique. Il veut s’assurer que la richesse générée reste là où elle est produite.

"Il faut qu’une partie de cette richesse reste dans les régions," insiste-t-il. Cette approche résonne avec une population souvent ignorée par les stratégies politiques centrées sur les grands centres.

Il y a quelque chose de magique dans l’odeur d’un cipaille qui mijote lentement dans un four familial. L’arôme riche des viandes et des épices, la vapeur qui s’échappe à l’ouverture du couvercle… Chaque famille de Matane a sa propre version de ce mets traditionnel, transmise au fil des générations comme un trésor. Pour Marc Bélanger, cette recette représente non seulement les saveurs de son coin de pays, mais aussi l’esprit chaleureux et rassembleur qui anime sa campagne et sa vision pour le Québec.

« À Matane, préparer un cipaille, c’est plus qu’un simple repas des fêtes : c’est un moment de partage où chacun met la main à la pâte, où les histoires se racontent et où les liens se resserrent autour de la table. »

La force d’un plat comme le cipaille tient à l’équilibre de ses ingrédients : plusieurs types de viandes, de pommes de terre, d’aromates, et cette généreuse couche de pâte qui emprisonne toutes ces saveurs. Fermez les yeux et imaginez : la douceur de la pâte dorée, la tendreté des viandes longuement mijotées, le parfum des épices qui remplit la cuisine. Servi avec des betteraves marinées, une salade de chou croquante, de petits pains tout chauds et, pour les plus audacieux, une petite touche de ketchup qui vient relever le tout. C’est un festin qui réchauffe autant le cœur que le palais.

« À chaque bouchée, c’est un morceau d’histoire de Matane que vous savourez. »

Le français est au cœur de notre identité québécoise. Alors que certains choisissent l’attentisme ou l’opportunisme, Marc Bélanger se démarque par son franc-parler et son engagement profond envers notre langue. Lors de l’émission Dutrizac à QUB, l’animateur et le chroniqueur Antoine Robitaille ont souligné la position unique de Marc dans la course à la chefferie du Parti libéral du Québec.

Dans un extrait percutant partagé lors de l’émission, Marc a dénoncé l'inaction face à la nomination de responsables fédéraux ne parlant pas français, en affirmant :

« "Moi, si j'avais été lieutenant de Justin Trudeau, j'aurais dit : tu la nommes et je démissionne." »

La voix de Marc Bélanger résonne avec clarté et conviction dans l’épisode de podcast le plus récent que vous pouvez écouter ici sur Spotify. Pendant plus d’une heure, Marc partage sa vision audacieuse pour le Québec et les enjeux qui nous touchent tous : notre économie, nos régions, notre langue, et notre avenir collectif.

Pourquoi cet épisode est-il essentiel ?
Marc ne se contente pas de répondre aux questions : il inspire, il mobilise, il nous invite à imaginer un Québec plus fort et plus uni. Voici les moments clés de cet échange :

• Les régions au cœur de l’action : Marc partage son plan pour revitaliser nos régions et faire de leur potentiel un moteur économique pour tout le Québec.
• Une économie qui rassemble : Il explique comment la collaboration et l’innovation peuvent faire avancer le Québec dans un monde de plus en plus compétitif.
• La protection du français : une priorité : Marc rappelle que notre langue n’est pas qu’un patrimoine, mais un pilier de notre identité et de notre prospérité.
• Un appel à la jeunesse : Il parle directement à la nouvelle génération, leur offrant des solutions concrètes pour relever les défis d’aujourd’hui et bâtir un avenir prometteur.

Il y a des moments où le passé vous rattrape d’une manière inattendue. Retrouver ce reportage sur mon père, Réal Bélanger, décédé en 2020, en est un pour moi. Cette vidéo, réalisée lorsqu’il a été honoré comme "Grand bâtisseur" par la Chambre de commerce de Matane, m’a bouleversé.

Entendre sa voix, revoir son regard plein de détermination, c’est comme si, pour un instant, il était encore là avec nous. Ce qu’il partage dans ce reportage, ce n’est pas seulement son histoire, c’est une vision, un engagement, une foi inébranlable en Matane, en ses gens, et en leur avenir.

Il y a un an, le gouvernement du Québec annonçait fièrement un investissement massif de plusieurs milliards de dollars dans l’usine de batteries de Northvolt à Saint-Basile-le-Grand. Ce projet, qualifié de « coup de génie » par François Legault, était censé être l’équivalent moderne des barrages de la Baie-James, une initiative visionnaire pour faire du Québec un leader mondial de la transition énergétique.

Un an plus tard, le bilan est désastreux. Au lieu d’un succès, nous faisons face à une gestion scandaleuse des fonds publics et à un manque flagrant de vision pour l’avenir du Québec.